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Jean Marco92
3 comentários em 1 lugares
STATUE REINE ASTRID ( Place de la Reine Astrid )
Située à l’angle du Cours Albert 1er et de l’Avenue Montaigne, Place de la Reine Astrid depuis 1936. La Place porte le nom de la Reine Astrid (1905-1935), épouse de Léopold III de Belgique.
Le « Monument de la reconnaissance de la Belgique à la France » par de Isodore De Rudder ( 1855-1943 ) , sculpteur, statuaire, peintre, graveur et céramiste belge de la période Art nouveau, inauguré en 19233, se trouve sur la place.
La dédicace : " A la France , la Belgique reconnaissante , 1914 - 1918 " . Il fait référence probablement au soutien de la France pour accueillir les exilés, qui fuyaient l'avancée de l'armée allemande, pendant la guerre 1914 - 1918 . De plus , la France accueillit le gouvernement Belge pendant l'occupation du pays.
BOITE à SABLE ( face au 2 Place de la Reine Astrid )
Au début du 20e siècle, le sablage était utilisé pour lutter contre les chaussées rendues glissantes par les intempéries et aussi par les déjections des chevaux. Pour faciliter la tâche des cantonniers municipaux, chargés de l’entretien des routes, la ville installa aux quatre coins de Paris des boites à sable, coffrets métalliques de 1,50 m à 1,70 m de haut, permettant ainsi aux ouvriers de couvrir plus rapidement la capitale. Malgré son efficacité, le sable n’était pas sans inconvénient. Il laissait derrière lui des chaussées sales lors des dégels et engorgeait les égouts. Petit à petit, il fut donc remplacé par le sel, plus pratique et moins couteux et les boites à sable, dont le couvercle grillagé exposait le contenu aux intempéries, ne pouvant stocker du sel, devinrent obsolètes.
On en comptait 32 en 1923, et on n’en trouve à l’heure actuelle plus que 5 dans la capitale. Les dernières sont avenue Trudaine, avenue Gabriel, Place de la Reine Astrid, avenue de Friedland et avenue de Saxe.
Certaines ont été reconverties en cheminée de ventilation de locaux souterrains de la ville servant de vestiaires aux cantonniers ( escaliers d’accès au sous-sol à proximité ).
Située à l’angle du Cours Albert 1er et de l’Avenue Montaigne, Place de la Reine Astrid depuis 1936. La Place porte le nom de la Reine Astrid (1905-1935), épouse de Léopold III de Belgique.
Le « Monument de la reconnaissance de la Belgique à la France » par de Isodore De Rudder ( 1855-1943 ) , sculpteur, statuaire, peintre, graveur et céramiste belge de la période Art nouveau, inauguré en 19233, se trouve sur la place.
La dédicace : " A la France , la Belgique reconnaissante , 1914 - 1918 " . Il fait référence probablement au soutien de la France pour accueillir les exilés, qui fuyaient l'avancée de l'armée allemande, pendant la guerre 1914 - 1918 . De plus , la France accueillit le gouvernement Belge pendant l'occupation du pays.
BOITE à SABLE ( face au 2 Place de la Reine Astrid )
Au début du 20e siècle, le sablage était utilisé pour lutter contre les chaussées rendues glissantes par les intempéries et aussi par les déjections des chevaux. Pour faciliter la tâche des cantonniers municipaux, chargés de l’entretien des routes, la ville installa aux quatre coins de Paris des boites à sable, coffrets métalliques de 1,50 m à 1,70 m de haut, permettant ainsi aux ouvriers de couvrir plus rapidement la capitale. Malgré son efficacité, le sable n’était pas sans inconvénient. Il laissait derrière lui des chaussées sales lors des dégels et engorgeait les égouts. Petit à petit, il fut donc remplacé par le sel, plus pratique et moins couteux et les boites à sable, dont le couvercle grillagé exposait le contenu aux intempéries, ne pouvant stocker du sel, devinrent obsolètes.
On en comptait 32 en 1923, et on n’en trouve à l’heure actuelle plus que 5 dans la capitale. Les dernières sont avenue Trudaine, avenue Gabriel, Place de la Reine Astrid, avenue de Friedland et avenue de Saxe.
Certaines ont été reconverties en cheminée de ventilation de locaux souterrains de la ville servant de vestiaires aux cantonniers ( escaliers d’accès au sous-sol à proximité ).
Ce square porte le nom de la capitale de l'Allemagne actuelle, Berlin, dont l’ambassade d’Allemagne en France, est proche et sise de l’autre côté de l’avenue Franklin-D.-Roosevelt ( nos 13-15).
Cet espace vert a été détaché des jardins des Champs-Elysées et a reçu le nom de « Square de Berlin » ( à l’occasion du sommet des maires du monde ) le 17 mars 2000. L’attribution du nom de ce square est venue compenser la dégermanisation passée : une rue de Berlin a existé à Paris ( située dans le quartier de l’Europe du 8e arrond. et le quartier Saint-Georges du 9e arrond. ), rue que l’arrêté du 15 août 1914 a renommé « rue de Liège », ce qui a entraîné le changement du nom de la station de métro « Berlin » en « Liège ».
À l'angle de l’avenue Franklin-D.-Roosevelt et de l’avenue du Général-Eisenhower se trouve un monument « en souvenir de la chute du mur de Berlin le 9 novembre 1989 ». Devant ce monument, une composition végétale représente un ours, emblème de Berlin figurant dans ses armes.
Cet espace vert a été détaché des jardins des Champs-Elysées et a reçu le nom de « Square de Berlin » ( à l’occasion du sommet des maires du monde ) le 17 mars 2000. L’attribution du nom de ce square est venue compenser la dégermanisation passée : une rue de Berlin a existé à Paris ( située dans le quartier de l’Europe du 8e arrond. et le quartier Saint-Georges du 9e arrond. ), rue que l’arrêté du 15 août 1914 a renommé « rue de Liège », ce qui a entraîné le changement du nom de la station de métro « Berlin » en « Liège ».
À l'angle de l’avenue Franklin-D.-Roosevelt et de l’avenue du Général-Eisenhower se trouve un monument « en souvenir de la chute du mur de Berlin le 9 novembre 1989 ». Devant ce monument, une composition végétale représente un ours, emblème de Berlin figurant dans ses armes.
Etonnantes ces sculptures de vaches dans un petit carré de verdure au milieu de toutes ces tours modernes.